de vie où elle est née, se développe et disparaît.
Nous considérons que la présence de l’objet identifié est une énigme insoluble, et que l’identification est donc impossible en termes de présence, origine et finalité.
Loin du scepticisme, du nihilisme et de la pensée du doute, ni justifiant le statu quo, nous voulons nous focaliser sur la véritable identité de l’objet dans ses manifestations. L’identification d’un objet s’exerce par l’esprit en termes de référé-referant, la fusion des deux étant auto productive.
L’identification manque en quelque sorte le savoir et donc le jugement oscille entre la subjectivité (la spéculation conjecturale) et l’objectivité (l’identification empirique : elle-même étant limitée par le savoir disponible).
Un objet peut être une chose comme une corde, un quark, un atome, une molécule, une dimension de la matière dans le temps, une étoile une galaxie ou la totalité de l’univers.
Il est possible de penser de cette façon la conscience de l’interaction entre l’esprit et l’objet de l’esprit. La production de cette interaction est identifiée en termes de systèmes symboliques permettant la communication.
Penser permet la compréhension d’un objet, statique (en apparence) ou en mouvement.
Nous n’essayons pas de définir les pensées ni l’acte de penser. Nous ne tentons pas non plus de définir le processus de penser en termes de présence, d’origine et de finalité.
Nous considérons dans ce travail que la pensée ainsi que l’acte de penser est totalement énigmatique du moins dans ces termes.
Le fondement de notre pensée repose donc sur le fait que l’homme soit une énigme totale en termes d’origine, de présence et de